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Elégie... envol de libellules

Poèmes imagés


L'Océan...un sanctuaire...
L'Océan...un sanctuaire... :

« Ô Rage ! Ô Désespoir ! » c'est à ce vers que se référence mon  dernier dans cet acrostiche.

Écrire sur l'Océan... de vague à l'Âme, la plume aurait multitudes de sources où l'inspiration viendrait mourrir sur le sable laissant une trace telle l'écume déposée par les vagues en disparassicant discrétement...

Ici, ce n'est que pensée sur une photo... imagée...


Le Poème Dico.
Le Poème Dico. :

Ecrivez un poème, puis…
Prenez votre dictionnaire.

A côté de votre poème,
Réécrivez le texte…
 
En cherchant les mots
De votre poème,
Allez sept mots plus bas.

Et changez votre mot d’origine
Par ce nouveau mot…

 


Elegie sans contre façon.
Elegie sans contre façon. :

Mais l'amour la mort c'est pareil
C'est la vie, soi même à l'abandon
C'est un coeur qui s'éveille
Jusqu'à retrouver ou perdre la raison.

Lorsque se voile le roman,
L’âme vit sous ses faux semblants,
Sous l’apparence de glace, se ment…
Attendant la terre des tremblements.

Alors voilà l'autre, l'étrange messager,
Est-ce un ami, est-ce lui ?
Qui nous guidera vers le ciel l'immensité
Et qui dans un murmure nous dit : Voila c'est fini...

L’oiseau de feu traverse le livre
Au canon… le zéphyr déploie ses airs
Ange et démon dans l’atmosphère
Et l’Ams-tram-gram s’en va en lumière…"

Poème Duo avec Kérry-Choupy (www.poeme-france.com)


Grimoire de la plume.
Grimoire de la plume. :

P.S. : 

- Idocrase : Vésuvianite, également connu sous le nom idocrase, est d'un vert, brun, jaune, ou bleu minéral silicaté. Vésuvianite comme c'est le cas quadratique cristaux dans du skarn dépôts et calcaires qui ont été soumis à contacter le métamorphisme.  Il a été découvert dans des blocs inclus ou à proximité de laves sur le Vésuve, d'où son nom. 

 - des Freude et des Alptraum : De l’allemand  « des joies et des cauchemars ».

 


Elégie des lamentations.
Elégie des lamentations. :

« A l’envol de ma plume, la flamme s’est consumée.

Les yeux implorent le ciel

Pour une nuance de couleur

Pour une nuance d’inspiration…. »

 

Les étoiles se cachent dans l’obscur.

Les limbes couvrent les cieux.

La Lune se désole de ce bleu si triste…

 

Tout temps en absence, l’attente soupire.

Des vagues se jettent sur le sable

Comme un vulgaire désespoir…

 

Les grains de sables ne se comptent pas,

Il n’y a que galets usé par l’existence.

Des trous et des fissures résument

Toute l’indifférence face à la douleur…

 

Aucun compromis, juste des pleures

Venues d’ailleurs… là où chante

La complainte des opprimés :

Au fond du puits des lamentations.

 

Les mots et la parole n’ont plus cours…

Le vent même s’envola ailleurs…

Des cristaux se forment en stigmates

Une nappe poudreuse jonche le sol…

 

Le cœur en iceberg, le vide s’installe.

La Dame se vêtit de légèreté nacrée…

Elle ne marche pas, Elle vole…

Dans le firmament de ses prières,

Là voilà qui passe telle une étoile filante.

 

 

« Sur Terre, certaines âmes errent

Sans le souvenir d’être passé de l’autre côté de la rivière… »

 


L’enfonçure en lambeau.
L’enfonçure en lambeau. :

 

Dans le néant de ma béatitude,

J’effleure les rêves et les peurs.

Dans le néant de ma béatitude,

Je caresse la page blanche…

 

Au fil des livres, j’écoute

De mes yeux, la beauté se meurt.

Au fil des livres, j’écoute

Avec le cœur, le vide planche.

 

L’orage tombe, les grêles claquent.

Gronde, gronde l’intempérie !

L’orage tombe, les grêles claquent.

Pleures, Pleures l’infini…

 

Au fil de l’air, je couds

La plume au cahier…

Au fil du temps, je couds

Les lettres bafouées…

 

Dans le néant des dérisions,

J’inscris mon silence.

Dans le néant de ma dérision,

J’inscris mes maux denses.

 


Puis-je voir la tristesse d’autrui ?
Puis-je voir la tristesse d’autrui ? :

Les regards se baissent…

Et les pas trainent…

Les trottoirs s’assombrissent…

Peine et silence : vie de pénitence.

 

Les nuages cachent…

Le soleil s’éteint…

Jours se voilent…

Oh ! Horizon ! Si lointain…

 

Les arbres s’éternisent…

Branches s’effilochent…

Pleurs larmoyants…

Parapluie s’en vole… Le reste aussi…

 

Un banc vide.

Le vent s’affole…

Les cheveux se nouent…

Chemin couvert, les pieds s’élancent…

 

Yeux se lèvent durement…

A terre, danse…

Chaussées vieillies…

Mélancolie et tristesse : les gens passent.


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